Luc Schollaert a rejoint l’équipe de Plan International Belgique le 17 février 2020 en tant que "Manager Legacies and Major Donors". Après un mois dans sa fonction, il partage avec nous ses premières impressions. Nous lui souhaitons déjà bonne chance pour la suite.

Lorsque je suis tombé sur l’offre d’emploi de Plan International fin décembre 2019, j’ai tout de suite été intéressé et après en avoir discuté avec mon épouse, il était évident que je voulais postuler. Même si j’ai occupé pendant des dizaines d’années des fonctions commerciales dans le secteur privé, j’ai toujours été passionné par le secteur des ONG et je suis ravi de pouvoir terminer ma carrière chez Plan International Belgique, que j’ai d’ailleurs commencée chez NCOS (plus connu sous le nom de 11.11.11 aujourd’hui, l’homologue flamand du CNCD). La boucle est bouclée!

Accueil chaleureux

Mes premières semaines en tant que Manager Legacies and Major Donors chez Plan International Belgique ont été très agréables. J’ai déjà une cinquantaine d’années, mais j’ai été accueilli à bras ouverts par l’équipe composée en grande partie de jeunes et par les volontaires qui nous soutiennent au bureau. 

Plus je me familiarisais avec ma nouvelle fonction et plus je discutais avec nos donateurs.trices et partenaires externes, et plus je me réjouissais de me jeter à corps perdu dans ce nouveau rôle… Déjà après quelques jours, je me suis rendu compte que j’avais fait le bon choix et j’étais prêt à relever ce nouveau défi. Mais c’est alors que le coronavirus (COVID-19) est venu tout bouleverser.

Retournement de situation

Juste au moment où j’allais commencer à m’investir pleinement dans mon travail sur les legs, tout a basculé.
Depuis le vendredi 13 mars, notre bureau à Bruxelles est fermé pour préserver la santé et le bien-être des employé.e.s et des volontaires de Plan International Belgique. L’organisation est évidemment toujours opérationnelle, mais nous travaillons désormais tou.te.s à domicile.

De plus, j’avais la possibilité de participer à quelques sessions d’information intéressantes de l’organisation testament.be, dont Plan International Belgique fait partie. Ces sessions avaient pour but d’informer les participant.e.s sur les legs et les nouvelles règles du gouvernement flamand sur les legs en duo. Malheureusement, elles ont dû être annulées conformément aux mesures imposées par les autorités fédérales pour ralentir la propagation du virus.

Une rencontre plus festive était également prévue en mai lors des Floralies de Gand avec testament.be et nos Marraines et Parrains Plan, mais elle a aussi été annulée. C’est vraiment dommage car j’avais déjà hâte d’y être pour rencontrer les personnes avec lesquelles j’avais eu l’occasion de discuter au téléphone.

Premiers contacts avec les donateurs.trices

Ces derniers jours, j’ai malgré tout pu échanger par téléphone avec beaucoup de donateurs.trices de Plan International Belgique. Ce contact téléphonique était l’occasion pour eux.elles de m’en dire plus sur le lien qui les unit depuis de nombreuses années à notre organisation et même parfois de me raconter leur visite à leur Filleul.e Plan. Beaucoup ont exprimé leur admiration et leur respect pour le travail de Plan International. Cela m’a à nouveau conforté dans l’idée que j’avais fait le bon choix en venant travailler pour Plan International.

En informant les personnes qui soutiennent notre organisation sur les legs et la possibilité d’inclure Plan International comme bonne cause dans leur testament, je me suis aperçu que la crise actuelle liée au coronavirus nous fait tou.te.s réfléchir à notre santé et à notre manière de vivre.

Plan International est plus que jamais nécessaire

D’une part, nos donateurs.trices se rendent compte de l’importance d’une bonne infrastructure sanitaire dans tous les pays et sont plus que jamais motivé.e.s à soutenir les efforts de Plan International.

D’autre part, ils.elles réfléchissent aussi à leur propre santé et démontrent un certain intérêt pour inclure une bonne cause dans leur testament afin de s’assurer que leur engagement se poursuivra sur le long terme.

L’impact du coronavirus sur notre vie et notre travail est encore difficile à évaluer et beaucoup vivent actuellement dans l’incertitude. Cela me fait donc énormément plaisir de pouvoir aider nos donateurs.trices en prenant tout simplement le temps de discuter avec eux.elles, de les écouter parler de leurs préoccupations et de les rassurer en leur garantissant que nous faisons tout notre possible pour continuer à soutenir au maximum les enfants dans les pays où nous menons nos projets.  

Un bel avenir pour tou.te.s les enfants 

Je n’ai donc pas vu le temps passer depuis que j’ai rejoint l’organisation il y a un mois et j’ai hâte de pouvoir rencontrer nos donateurs.trices afin de les remercier personnellement de leur soutien. Je suis tellement impressionné par le travail de Plan International que mon épouse et moi avons aussi décidé de parrainer une petite fille de 7 ans, qui s’appelle Joselyne et vit au Rwanda. Elle a exactement le même âge que l’aînée de mes petites-filles et c’est donc une belle façon de les voir grandir ensemble. Car c’est finalement le plus important pour nous, offrir à nos enfants et nos petits-enfants toutes les chances pour construire un bel avenir.

En savoir plus sur les legs?

Contactez notre collègue Luc Schollaert:

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